Reconversion : ne soyons pas des Bridget Jones !

« L’enfer, c’est les autres » disait Sartre. Si la reconversion est à l’évidence une (sacrée) aventure personnelle, il faut néanmoins composer avec « les autres » : le mari, l’épouse, les parents, les enfants, les ami.e.s, les anciens collègues, tata Micheline, l’oncle Alfred, la voisine de palier, etc et leur lancinant « ALORS, T’EN ES OÙ ? »… Un peu comme quand on est célibataire et que l’on s’entend dire à chaque repas de famille « alors, les amours ? » 🙄🙄🙄
Avouons-le, c’est lourd, culpabilisant, pressurisant et limite insupportable. On vous en parle très vite…

Marina

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